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Cest ça le train d'la vie, vive la vie ! Mais si tu manques la marche. On n'en parle plus. Le train de la vie. C'est un joli petit train. Qui te mène du berceau. Jusqu'à la fin de la fin. Il fait des "Youp". Des "Bravos" des "Oulà là ".
Letrain de la vie. (Texte anonyme) A la naissance, on monte dans le train et on commence par rencontrer nos Parents. On croit qu'ils voyageront toujours avec nous. Pourtant, à une station, nos Parents Centerblog. Articles; Blogs; Images; Partager sur Facebook Partager sur Twitter. Rechercher. Gérer mon blog. Ajouter en ami. Accueil BOUDDHISME &
EnUkraine, qui a ses propres lois mémorielles « condamnant les régimes totalitaires communiste et national socialiste » (loi no. 2558 de 2015), il est intéressant de voir que la référence à la Seconde Guerre mondiale est également présente.Par exemple lorsque le Président Volodymir Zelensky compare le siège brutal de la ville de Marioupol par les troupes
Lavie est comme un voyage dans un train : on monte, on descend, il y a des accidents, à certains arrêts il y a des surprises et à d’autres il y a une profonde tristesse. Quand on naît et qu’on monte dans le train, nous rencontrons des personnes et nous croyons qu’elles resteront avec nous pendant tout le voyage : ce sont nos parents.
Réécrivezle premier paragraphe à la 3e personne du pluriel, au féminin (« elles »). TRAVAIL D’ECRITURE (20 points) SUJET A : « Vivement la liberté, le train et Québec ! » : vous inventerez la suite de ce texte en décrivant la fin de la guerre et l’arrivée du personnage au Québec. Vous évoquerez ses sentiments et ses pensées
Rencontre Dans Le Nord Pas Calais. 10 juin 2009 3 10 /06 /juin /2009 2004 Le train de la vie La vie est comme un voyage dans un train on monte et on descend; il y a des arrêts, des imprévus, des retards, des pannes, des accidents, … Quand on naît et qu'on monte dans le train, nous rencontrons des personnes qui, croyons-nous, resteront avec nous pendant tout le voyage ce sont nos parents. Malheureusement la vérité est toute autre car il arrive qu’ils descendent dans une gare plus rapprochée, sans nous prévenir de cette sortie subite… Il y a d'autres personnes qui montent à bord et dont la présence sera déterminante ce sont nos frères et nos sœurs, nos amis, nos proches. Quand certaines d’entre elles descendent, elles laissent en nous une nostalgie pour toujours. D'autres montent et descendent tout de suite. C’est à peine si nous avons le temps de les croiser et de les connaître. Et d’autres qui, épuisés par le voyage, veulent prématurément sortir du train... Parfois, on s’étonne de voir que certains passagers que nous aimons, s'assoient dans un autre wagon. Ils nous laissent voyager seul et ce, même s’ils savent que nous les cherchons partout dans le train. Et quand nous les retrouvons, la place à côté d’eux est déjà prise… Le grand mystère du voyage est que nous ne connaissons pas le moment où nous descendrons du train pour toujours, pas plus que nous ne connaissons celui de nos compagnons de voyage ou même, de celui qui est assis juste à côté de nous. Essayons donc de faire le plus beau voyage possible, de partager nos différentes découvertes, d’égayer mutuellement notre trajet et surtout, de nous entraider quand nos bagages deviennent trop lourds… Pour ma part, quand je quitterai ce grand train de la vie, oui, je serai triste. Par contre, je serai en paix car j’aurai fait mon possible pour être un bon compagnon de voyage... Texte non inclus dans Petites douceurs pour le coeur. Pensée de la semaine Chaque personne que je rencontre, c'est Dieu habillé d'une façon différente. Comment reconnaître la nuit du jour? Un professeur demande à ses étudiants Comment reconnaître le moment où la nuit s'achève et le jour se lève? — Lorsque l'on peut distinguer un mouton d'un loup, répondit un étudiant. — Non, ce n'est pas la réponse, dit le professeur.— Quand on peut faire la différence entre un figuier et un olivier, suggéra un autre. — Non, ce n'est pas la réponse, dit le rabbin. — Alors comment, demandèrent les étudiants en chœur? — Au moment où, voyant un inconnu, nous reconnaissons en lui un frère, alors le jour se lève et la nuit prend fin. » Cliquez sur l'image Souvent, une phrase suffit à éclairer une vie. » Voilà qui résume bien l'essence même de ce livre qui regroupe à lui seul plus de 450 pensées, histoires et citations, toutes plus inspirantes les unes que les autres. Vous en ferez vite votre nouveau livre de chevet. Charest, Nicole. Petites douceurs pour le coeur, Un monde différent, 2008 — Pour consulter la table des matières, cliquez ici. — Pour profiter du rabais réservé aux abonnés, cliquez ici. — Pour les personnes qui ne sont pas abonnées, cliquez ici. — Pour commander de l'Europe Fnac, Amazone ou Libre Entreprise. Diaporama Coup de coeur Réflexions de clowns... Une musique entraînante, 21 pensées inspirantes, des images amusantes, voilà de quoi débuter l'été sur le bon pied... Cliquez ici pour la suite de ce beau diaporama La blague du blog Toto va voir sa maman — Maman, Maman... je me suis fait mal ! — Où ça ? — Là -bas ! Publié par Nicole Charest - dans Bonheur-Paix-Apprécier la vie
Roman publié en 1865 tout d'abord en feuilleton dans Gil Blas puis en volume, la même roman retrace le parcours initiatique d'un jeune homme prêt à tout pour conquérir la capitale et réussir. Il mettra sept années à atteindre son but, accumulant les conquêtes féminines, instruments de son ascension PARTIECHAPITRE 1Le récit commence un 28 juin et ce chapitre s'étale sur une journée. Le personnage principal Georges Duroy est un ancien sous-officier récemment employé aux Chemins de fer du Nord. Il a peu d'argent et envie ceux qui peuvent profiter de la vie parisienne. Un soir, alors qu'il se promène dans les rues de Paris, il rencontre Forestier, un ancien ami, ex-camarade de régiment, qui est devenu rédacteur politique dans le journal "La vie française". Il lui donne une leçon de vie parisienne et lui demande pourquoi il n'essaierait pas le journalisme. Forestier constate que Duroy rencontre un certain succès auprès des femmes. Il l'invite à venir dîner chez lui pour lui faire rencontrer le directeur de son 2Georges Duroy se rend au dîner des Forestier. Il séduit Mme Walter, la femme du directeur du journal qui, conquise par ses souvenirs d'Afrique qu'il a racontés avec brio, lui demande de rédiger un article sur l'Algérie où il a vécu 28 mois. Il y rencontre aussi Mme Forestier, Mme de Marelle, une bourgeoise bohème et sa petite fille Laurine. Il est tout de suite intégré "Toutes les femmes avaient les yeux sur lui".CHAPITRE 3Duroy rencontre de terribles difficultés pour écrire l'article. Il en parle à son ami Forestier qui lui propose l'aide de sa femme, qui a un talent pour écrire des chroniques. Mme Forestier l'aide à écrire son premier article et le pousse à revoir Mme de Marelle. Georges ne sait comment la remercier. Le comte de Vaudrec se présente au domicile des Forestier, il serait un "ami intime". Georges se 4Lorsqu'il sort de l'appartement, il se sent triste. Puis, il se rend à la Vie Française et donne "son" article. Walter semble satisfait sans même lire l'article. Georges obtient une embauche régulière au journal. Mais il doit écrire la suite pour le lendemain, Georges est impatient de trouver son article dans le journal. Il ressent une joie immense et beaucoup de fierté. Il donne sa démission au bureau des chemins de fer. Il prend du bon temps puis se rend au journal où il sera reçu avec froideur, d'autant qu'il n'a pas apporté la suite de sa chronique. Puis, il suit Saint-Potin qui doit lui donner des conseils pour la pratique de son nouveau chez lui, il se met au travail mais sans succès. Il se présente de nouveau chez Mme Forestier pour demander de l'aide mais il est éconduit par son mari. Il produit finalement un article mais celui-ci n'est pas publié le lendemain. Il se consacre dorénavant à une autre forme de journalisme l'écriture de reportages payés à la ligne mais cela ne lui convient pas car cela rapporte peu d'argent.Le narrateur donne dans ce chapitre de nobreuses informations sur La Vie française le journal, le directeur, les journalistes, les tâches du 5Georges est frustré ils n'est pas assez riche et les portes des grands du monde lui sont fermées. Il souvient de l'invintation passée de Mme de Marelle et se rend chez elle. Il y est accueilli chaleureusement par la mère et la fille. Il est aussitôt réinvité. Mme de Marelle organise un dîner au restaurant avec le couple Forestier. Tous les quatre mangent bien et la conversation est grivoise. Mais Forestier est en retrait car il souffre de la poitrine. Au retour, alors qu'il raccompagne Mme de Marelle, Georges l'embrasse. Ils prennent rendez-vous pour le lendemain. Le surlendemain, ils sont amants. A partir de ce moment, elle lui rend visite quotidiennement dans son petit appartement. Mais un jour, elle est prise à parti par des voisins qui l'humilient publiquement. Elle ne veut plus remettre les pieds chez Georges. Elle trouve un nouveau lieu de rendez-vous un appartement qu'elle s'occupe de louer. Elle le fait découvrir à Georges qui, dans un premier temps, se demande comment il va le payer. Mais bien vite, elle le rassure elle prend tout en continuent de se voir tous les jours et Mme de Marelle aime particulièrement fréquenter les lieux populaires. Un soir, alors qu'ils se rendent aux Folies Bergères, ils tombent sur Rachel, une maîtresse occasionnelle de Georges. Celui-ci fait mine de ne pas la reconnaître. L'autre, vexée, l'apostrophe en lui rappelant leur relation. Clotilde de Marellle est choquée que Georges ait pu utiliser son argent pour fréquenter la prostituée. Elle abandonne Georges après l'avoir traité de cochon à plusieurs reprises. CHAPITRE 6Le lendemain, il se réveille sonné. Il tente de trouver du réconfort auprès de Rachel mais elle l'éconduit. Au journal, Forestier se montre désagréable et cinglant avec lui. Pour se venger, il décide de le faire cocu et se rend chez Mme Foresitier. Mais celle-ci le remet rapidement à sa place elle ne sera jamais sa maîtresse. En revanche, elle le conseille s'il veut réussir en lui recommandant de rendre visite à Mme Walter même si là non plus, il ne sera pas question de mariage. Comme il n'a pas été invité, il lui envoie un panier de poires qu'il a acheté près de chez lui et qu'il lui présente comme fraîchement arrivée de Normandie. En retour, il reçoit une samedi suivant, il se rend chez les Walter qui logent dans une belle demeure et où les conversations littéraires vont bon train. Dans un premier temps, il n'ose prendre la parole puis il finit par donner un avis original et remarqué sur les soir-là , il se réconcilie avec Rachel. Le lendemain, il est nommé chef des échos et invité à dîner chez Mme Walter. Au journal, il remplace M. Boisrenard, jugé consciencieux mais trop honnête et manquant de "maîtrise et de chic".Il s'installe à son nouveau bureau. Forestier est de plus en plus se dit qu'il doit changer de logement et se répète qu'il doit écrire à ses parents. Il se sent un autre homme et repousse les prostituées avec d'un dîner chez les Walter, il retrouve Clotilde et tous deux renouent. Il discute aussi longuement avec Norbert de Varennes au sujet de la mort. L'autre lui décrit sa vision pessimiste du lendemain, Clotilde décide de le présenter à son mari lors d'un dîner qu'elle veut organiser avec les Forestier. Charles est de plus en plus souffrant. Mme de Marelle indique à Georges que Mme Forestier va sûrement se remarier si son mari décède. Plus tard, Georges fait ses adieux au couple Forestier qui part à Nice. Il réafirme son attachement à Mme Forestier. CHAPITRE 7Duroy est vivement attaqué par un chroniqueur du journal concurrent "La Plume". Il n'a d'autre choix que de le combattre en duel. La nuit précédent cet affrontement, il est terrorisé mais finalement le moment venu, chacun tire sans toucher l'autre. L'affaire est est bouleversée quand elle apprend cet épisode et se montre très aimante. Il lui demande s'il peut occuper à plein temps l'appartement dans lequel ils se retrouvent, elle accepte après quelques réticences croyant qu'il risque de l'y tromper. Georges reste assez détaché "C'est une bien gentille maîtresse, je serai rudement bête de la lâcher". CHAPITRE 8Georges fréquente régulièrement Clotilde et la couple qu'elle forme avec son reçoit une lettre de Madeleine Forestier qui lui demande de venir l'assister car son mari est en train de vivre ses derniers moments. Georges prend le train le lendemain pour trouve Forestier très diminué, désagréable avec sa femme et obsédé par l'idée de sa mort. A la fin de la première journée, Georges souhaite repartir, ne supportant pas tout ce malheur. Mais finalement, il se résigne et reste. Le lendemain, Charles va beaucoup mieux et tous trois font une longue balade dehors. Le soir, il est cependant pris d'une quinte de toux et le médecin diagnostique le début de l'agonie. On fait venir le prêtre. Forestier meurt après avoir crié sa volonté de ne pas mourir. Georges et Madeleine se retrouvent de la veillée du corps, Georges pense à la mort, puis se met à contempler Madeleine. L'idée de la conquérir lui vient. Il lui dit qu'il est prêt à l'épouser même s'il est conscient que ce n'est ni le lieu, ni le moment de lui faire cette veille de l'enterrement, elle lui précise sa conception du mariage pour elle, c'est une association qui ne doit pas entraver sa liberté. Le lendemain du mariage, il quitte Cannes pour rejoindre 7Duroy est vivement attaqué par un chroniqueur du journal concurrent "La Plume". Il n'a d'autre choix que de le combattre en duel. La nuit précédent cet affrontement, il est terrorisé mais finalement le moment venu, chacun tire sans toucher l'autre. L'affaire est est bouleversée quand elle apprend cet épisode et se montre très aimante. Il lui demande s'il peut occuper à plein temps l'appartement dans lequel ils se retrouvent, elle accepte après quelques réticences croyant qu'il risque de l'y tromper. Georges reste assez détaché "C'est une bien gentille maîtresse, je serai rudement bête de la lâcher".Chapitre 8Georges fréquente régulièrement Clotilde et la couple qu'elle forme avec son reçoit une lettre de Madeleine Forestier qui lui demande de venir l'assister car son mari est en train de vivre ses derniers moments. Georges prend le train le lendemain pour trouve Forestier très diminué, désagréable avec sa femme et obsédé par l'idée de sa mort. A la fin de la première journée, Georges souhaite repartir, ne supportant pas tout ce malheur. Mais finalement, il se résigne et reste. Le lendemain, Charles va beaucoup mieux et tous trois font une longue balade dehors. Le soir, il est cependant pris d'une quinte de toux et le médecin diagnostique le début de l'agonie. On fait venir le prêtre. Forestier meurt après avoir crié sa volonté de ne pas mourir. Georges et Madeleine se retrouvent de la veillée du corps, Georges pense à la mort, puis se met à contempler Madeleine. L'idée de la conquérir lui vient. Il lui dit qu'il est prêt à l'épouser même s'il est conscient que ce n'est ni le lieu, ni le moment de lui faire cette veille de l'enterrement, elle lui précise sa conception du mariage pour elle, c'est une association qui ne doit pas entraver sa liberté. Le lendemain du mariage, il quitte Cannes pour rejoindre PARTIEChapitre 1Il lui rend visite régulièrement et un jour, elle lui annonce la date du mariage elle veut qu'il prévienne Clotilde et rencontrer ses parents car il ne doit pas avoir honte d'eux. Elle lui fait aussi part d'épouser un homme anobli et elle lui demande s'il peut modifier son nom. Il va devenir Monsieur Georges du Roy de Cantel transformation de Canteleu, sa bourgade natale. Une fierté l'envahit. Puis il prévient Clotilde qui s'effondre. Elle le laisse en lui disant qu'il a fait "le bon choix".Georges et Madeleine s'unissent sans cérémonie religieuse et discrètement. Puis, ils quittent Paris pour la Normandie. Dans le train, ils sont d'abord mal à l'aise, la jeune femme se montre froide et calculatrice. Peu à peu, l'atmosphère se détend et ils s'étreignent rapidement. La femme reste réservée face à l'emportement de arrivent chez les parents de Georges, les mariés se sentent mieux Georges est heureux de retrouver ses racines. Cependant, Madeleine est rapidement mal à l'aise face aux manières et au mode de vie rustiques. Elle précipite leur départ. Les parents sont surpris par ce départ 2Alors que Georges rentre chez lui avec un bouquet de roses pour sa femme, il apprend que Vaudrec est invité à dîner comme tous les lundis. Désappointé, il passe finalement une bonne soirée. Le couple se met au travail après le départ du conte il s'agit d'écrire un article en rapport avec les événements au Maroc. Cet article à teneur politique et polémique lui assure la célébrité. Madeleine, de son côté, fréquente aussi les grands de ce monde qui lui rendent de nombreuses visites. Parmi eux, Laroche-Mathieu vise le porte-feuille des affaires étrangères, c'est aussi l'actionnaire principal du groupe marche sur les traces de Forestier, à tel point que ses collègues l'appellent Forestier car leurs articles se ressemblent beaucoup. Georges en nourrit une grande haine contre son ancien ami et se met à faire sans cesse allusion à lui auprès de Madeleine en employant un ton qu'un soir, il se promène avec sa femme au Bois de Boulogne, il lui demande si elle a trompé Forestier. Elle refuse de lui répondre, mais il a la conviction qu'elle l'a fait. Il décide de ne plus penser qu'à lui même et de n'être motivé que par sa seule volonté de 3Alors qu'il rentre chez lui, il tombe sur Mme Walter et Clotilde. Madeleine lui dit que les filles Walter auraient pu être un bon parti pour lui. Le soir, il repense avec nostalgie à Clotilde et décide de lui rendre visite le lendemain. A la suite de cette rencontre, ils passe chercher Mme Walter et ses filles pour aller chez Rival assister à un assaut dans la salle d'armes. Il trouve la mère séduisante. De nombreuse personnalités sont présentes. Il s'agit d'une fête de bienfaisance. Il réalise qu'il plaît à Mme Walter. Il est heureux de son succès auprès des relations se tendent entre Georges et Madeleine. Il arrête d'évoquer Charles en l'appelant ce "cocu de Forestier". Parallèlement, il s'applique à séduire Mme Walter. Dans un premier temps, elle résiste mais cela est plus formel que sincère. Après avoir refusé l'invitation dans un premier temps, elle se présente à un diner avec d'autres amis chez Georges. Il reçoit toutes les femmes qu'il a séduites mais il porte une attention particulière à Mme Walter. Il décide de la raccompagner et lui fait une grande déclaration d'amour. Il obtient d'elle un rendez-vous pour le lendemain dans l'église de la Madeleine. Il raccompagne ensuite 4Georges attend Virginie Walter dans l'église. Lorsqu'elle arrive, il lui déclare à nouveau son amour. Elle finit par avouer qu'elle l'aime aussi. Mais restée seule, elle est dévorée par le remords et demande au prêtre de la confesser de toute urgence. Puis, elle quitte l'église après avoir retrouvé Georges et demandé de ne plus la voir en tête à tête. Il se rend ensuite au journal. Walter l'appelle Bel Ami. Il règne une grande effervescence le ministère vient de tomber. Georges rédige un article à ce sujet. Il reçoit un billet anonyme qui lui donne rendez-vous le lendemain. Il comprend que son auteur est Virginie. Le lendemain, elle se donne à 5L'influence politique du journal grandit. Du Roy travaille pour servir les ambitions politiques des grands de ce s'est lassé de Mme Walter et l'a quittée. Elle était trop envahissante. Un jour, elle lui envoie un billet pour lui fixer un rendez-vous. A cette occasion, il apprend qu'elle peut lui faire gagner beaucoup d'argent s'il participe à une opération menée en secret par Walter. Il accepte. Il retrouve ensuite Clotilde et lui donne la même information pour son mari afin qu'il profite aussi de cette aubaine. Mais celle-ci découvre les cheveux d'une autre femme sur son veston ce sont ceux de Virginie qui avait pris soin de les placer sur les boutons de la veste de son ancien amant lors de leur précédent rendez-vous. Elle le griffe puis s'enfuit. Georges décide de se venger il se met à détester meurt d'une crise de 6Vaudrec a légué toute sa fortune à Madeleine. Georges en est humilié et lui demande de partager pour moitié la somme sinon il refusera qu'elle touche l'héritage. Elle accepte en se montrant peu préoccupée par l'argent. Pour leur entourage, il s'agit de dire qu'ils ont hérité ensemble. Les tensions entre eux s'apaisent et ils retrouvent une complicité en dépensant l'argent qu'ils viennent de 7La conquête du Maroc est accomplie et Walter est devenu l'un des "maîtres du monde". Il s'installe dans un nouveau domicile très luxueux et achète un des tableaux les plus prisés du moment. Il le place chez lui et organise une soirée sur invitation pour parader. Du Roy refuse dans un premier temps puis accepte. C'est une très grande réception qui réunit le tout Paris. Il y séduit Suzanne Walter et se dit qu'elle serait décidément un bon parti. Elle s'engage à le tenir informé des demandes en mariage dont elle ferait l'objet. Pendant ce temps, sa femme ne quitte pas le ministre Laroche-Mathieu avec qui elle passe la plus grande partie de la Walter se consume de jalousie et reproche sa cruauté à Georges. Il lui impose une relation amicale si elle souhaite continuer à le retour de cette soirée, Madeleine apprend à Georges que Laroche lui a fait obtenir la Légion d'honneur. Georges estime que le ministre ne fait que payer sa dette à son égard et qu'il lui doit encore beaucoup. Ils dînent ensuite chez les 8Georges fréquente la maison Walter régulièrement. La sœur de Suzanne va bientôt se marier. Il fait une déclaration d'amour à Suzanne et lui demande de refuser toute demande en mariage et de lui faire il organise une opération policière pour faire constater l'adultère de sa femme en flagrant délit. Il y parvient en la surprenant un soir avec le ministre. Il se rend ensuite à La Vie Française ou il annonce à Walter l'adultère et la chute de Laroche-Mathieu qui en découle. Walter ne peut s'empêcher d'éprouver une certaine admiration pour 9Le divorce est prononcé. Lors d'une sortie pour aller déjeuner à Saint-Germain organisée par les Walter à laquelle Georges participe, il expose son plan à Suzanne il va l'enlever et forcer ainsi ses parents à accepter le mariage. Préalablement, la jeune fille aura demandé l'autorisation de l'épouser, mais Georges sait qu'ils refuseront chacun ayant ses propres raisons.Le plan fonctionne et Mme Walter est effondrée, terrassée par la douleur. Son mari lui reproche d'ailleurs d'être victime, comme nombre de femmes, du charme de nouveau couple rentre à 10Clotilde reproche à Georges d'épouser Suzanne "Comme tu es roué et dangereux, toi!". Elle est folle de rage et pour la faire taire elle l'accuse d'avoir couché avec Suzanne, il la frappe. Il décide de ne plus revenir dans leur appartement immense mariage s'organise c'est un événement à Paris. Le succès de Georges est immense. Tout laisse supposer que sa relation avec Clotilde n'est pas terminée et qu'il va devenir député.
Texte 1 Le train filait, à toute vapeur, dans les ténèbres. Je me trouvais seul, en face d'un vieux monsieur qui regardait par la portière. On sentait fortement le phénol dans ce wagon du venu sans doute de Marseille. C'était par une nuit sans lune, sans air, brûlante. On ne voyait point d'étoiles, et le souffle du 5 train lancé nous jetait quelque chose de chaud, de mou, d'accablant, d'irrespirable. Partis de Paris depuis trois heures, nous allions vers le centre de la France sans rien voir des pays traversés. Ce fut tout à coup comme une apparition fantastique. Autour d'un grand feu, dans un bois, deux hommes étaient debout. 10 Nous vîmes cela pendant une seconde c'était, nous sembla-t-il, deux misérables en haillons, rouges dans la lueur éclatante du foyer, avec leurs faces barbues tournées vers nous, et autour d'eux, comme un décor de drame, les arbres verts, d'un vert clair et luisant, les troncs frappés par le vif reflet de la flamme, le feuillage traversé, pénétré, mouillé par la lumière qui coulait dedans. 15 Puis tout redevint noir de nouveau. Certes, ce fut une vision fort étrange! Que faisaient-ils dans cette forêt, ces deux rôdeurs? Pourquoi ce feu dans cette nuit étouffante? Mon voisin tira sa montre et me dit "Il est juste minuit, Monsieur, nous venons de voir une singulière chose." 20 J'en convins et nous commençâmes à causer, à chercher ce que pouvaient être ces personnages des malfaiteurs qui brûlaient des preuves ou des sorciers qui préparaient un philtre? On n'allume pas un feu pareil, à minuit, en plein été, dans une forêt, pour cuire la soupe? Que faisaient-ils donc? Nous ne pûmes rien imaginer de vraisemblable. Les meilleurs professeurs de Français disponibles4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 111 avis 1er cours offert !4,9 70 avis 1er cours offert !5 85 avis 1er cours offert !4,9 117 avis 1er cours offert !5 39 avis 1er cours offert !4,9 56 avis 1er cours offert !5 38 avis 1er cours offert !4,9 17 avis 1er cours offert !5 111 avis 1er cours offert !C'est partiQuestions I°/ La situation initiale ................ Ligne 1 à 7 1 - Qui est le narrateur ? Justifiez. 2 - Quel est le point de vue qu'il adopte ? Justifiez. 3 - Quand et où l'action se déroule-t-elle ? Justifiez 4 - Quelle atmosphère règne-t-il dans ce train ? Relève le champ lexical approprié. 5 - Quelles sensations cette atmosphère créet-t-elle chez le narrateur ? Relevez-en deux dans le texte. 6 - quel est le temps utilisé dans ce passage ? Justifiez cet emploi donnez sa valeur. II°/ L'apparition ................... Ligne 8 à 13 7 - Quelle expression le narrateur utilise-t-il pour annoncer l'arrivé de l'élément perturbateur ? 8 - Quel est le temps employé ? Justifiez son emploi donnez sa valeur. 9 - Relevez et analysez deux expansions nominales se rapportant à "lueur", ligne 11. 10 - Dans ce même paragraphe, relevez et analysez une proposition subordonnée relative. III°/ Les personnages 11 - Quels types de phrases sont utilisés aux lignes 16 et 17 ? 12 - Des lignes 16 à 19, relevez deux adjectifs qui montrent qu'on bascule dans le fantastique. 13 - En quoi peut-on parler d'un texte fantastique ? Votre réponse sera justifiée. Barème Partie I points → Question 1 point → Question 2 point → Question 3 1 point → Question 4 point pour l'atmosphère et 1 point pour le champ lexical points au total. → Question 5 2 x → Question 6 pour le temps et point pour sa valeur 1 point au total Partie II 5 point → Question 7 1 point → Question 8 point pour le temps et point pour sa valeur 1 point au total. → Question 9 2 points 1 point par expansions juste → Question 10 1 point Partie III point → Question 11 1 point pour les types de phrase et 1 point pour les sentiments 2 points au total. → Question 12 2 x → Question 13 points Rédaction Vous aussi, vous avez vécu des évènements étranges. Racontez cette expérience dans un récit fantastique au passé. Consignes Votre texte comportera des passages descriptifs et narratifs, et trois paragraphes 1. les circonstances, 2. l'évènement, 3. les réflexions, les réactions.
Lors de la cérémonie d’obsèques mais aussi dans les semaines, mois et années qui suivent le décès d’un être cher, mettre des mots sur la douleur de la séparation est rarement aisé. Avec le recul, le temps et la méditation permettent d’extérioriser un ressenti dans lequel beaucoup d’entre nous peuvent se reconnaître. C’est le cas de Marie-Françoise qui a été touchée par ces 2 textes qu’elle relit de temps en temps. Merci d’avoir eu la gentillesse de les partager ! Vivre et croire, Père André Marie Vivre et croire, c’est aussi accepter que la vie contient la mort et que la mort contient la vie. C’est savoir, au plus profond de soi, qu’en fait, rien ne meurt jamais. Il n’y a pas de mort, il n’y a que des métamorphoses. Tu ne nous as pas quittésMais tu t’en es allé au pays de la Vie, Là où les fleursPlus jamais ne se fanent, Là où le tempsNe sait plus rien de nous. Ignorant les rides et les soirs,Là où c’est toujours matin,Là où c’est toujours serein. Tu as quitté nos ombres,Nos souffrances et nos peines. Tu as pris de l’avanceAu pays de la Vie. Je fleurirai mon cœurEn souvenir de toi, Là où tu vis en moi,Là où je vis pour toi. Et je vivrai deux fois… Tu peux partir, Auteur anonyme Tu peux partir… Tu resteras toujours présent dans ma vie avec tout ce que tu m’as donné, enseigné, témoigné… L’avenir a le pouvoir de nous éloigner physiquement, mais il n’a pas la force de me priver de ce que j’ai reçu de toi. Peut-être m’obligera-t-il à t’apprivoiser dans une autre présence mais jamais il ne m’interdira de me réjouir de ce que je conserve de nous. Rien, non rien ne peut altérer ce que nous avons vécu de beau ensemble. Les relations sont comme des rêves elles meurent seulement le jour où on les abandonne. Tu es parti, mais tu habites ce que je suis devenue… Et je garde au fond de mon cœur l’espérance de tes bras dans notre ultime rencontre. D’autres poèmes portent ce même message de transcendance. Ils peuvent être lus dans le sens premier pour ceux d’entre vous qui ont la foi chrétienne, ou dans un sens plus métaphorique pour les autres. Le souvenir, Doris Lussier Un être humain qui s’éteint, ce n’est pas un mortel qui finit. C’est un immortel qui commence. C’est pourquoi en allant confier où il dormira doucement à coté des siens,en attendant que j’aille l’y rejoindre,je ne lui dis pas adieu, je lui dis à bientôt. Car la douleur qui me serre le cœur raffermit, à chacun de ses battements,ma certitude qu’il est impossible d’autant aimer un être et de le perdre pour toujours. Ceux que nous avons aimés et que nous avons perdus ne sont plus où ils étaient,mais ils sont toujours et partout où nous sommes. Cela s’appelle d’un beau mot plein de poésie et de tendresse le souvenir. Tu es vivant, André Sève Tu es vivant Tu ne parles plus mais tu es vivant. Tu ne bouges plus mais tu es vivant. Tu ne souris plus mais en arrière de tes yeux tu me regardes. De très loin ? Peut-être de très près, je ne sais rien de ces distances. Je ne sais plus rien de toi, mais tu sais maintenant davantage de choses sur moi. Tu es en Dieu. Je ne sais pas ce que cela peut vouloir dire mais sûrement ce que tu voulais et ce que je veux pour toi. Je le crois. Toute ma foi, je la rassemble. Elle est maintenant mon seul lien avec donne-moi de croire à ta victoire sur la mort. Celui que j’aime veut entrer dans ta joie. S’il n’est pas prêt, je te prie pour lui. Achève sa préparation. Pardonne-lui comme tu sais pardonner. Aide-moi à vivre sans sa voix, sans ses yeux, Que je ne le déçoive pas maintenant qu’il va me voir vivre et m’attendre Vous souhaitez lire d’autres textes recevez gratuitement par email notre recueil des plus beaux textes à lire lors des obsèques et pour vous accompagner dans le deuil. Ce que c’est que la mort, Victor Hugo Ne dites pas mourir ; dites naître. voit ce que je vois et ce que vous voyez ;On est l’homme mauvais que je suis, que vous êtes ;On se rue aux plaisirs, aux tourbillons, aux fêtes ; On tâche d’oublier le bas, la fin, l’écueil,La sombre égalité du mal et du cercueil ;Quoique le plus petit vaille le plus prospère ;Car tous les hommes sont les fils du même père ; Ils sont la même larme et sortent du même vit, usant ses jours à se remplir d’orgueil ;On marche, on court, on rêve, on souffre, on penche, on tombe,On monte. Quelle est donc cette aube ? C’est la tombe. Où suis-je ? Dans la mort. Viens ! Un vent inconnuVous jette au seuil des cieux. On tremble ; on se voit nu,Impur, hideux, noué des mille noeuds funèbresDe ses torts, de ses maux honteux, de ses ténèbres ; Et soudain on entend quelqu’un dans l’infiniQui chante, et par quelqu’un on sent qu’on est béni,Sans voir la main d’où tombe à notre âme méchanteL’amour, et sans savoir quelle est la voix qui chante. De nombreux autres textes sont à découvrir sur le blog Une Rose Blanche. Photo de l’article Artsy Vibes
A l’occasion d’un enterrement, une famille se déchire. Dans cette allégorie de la France contemporaine, Chéreau prouve qu’il est avant tout un grand directeur d’acteurs. Ce qui nous frappe d’abord, à chaud, dans le nouveau film de Patrice Chéreau, ce sont des signes de proximité avec ce que l’on appellera, faute de mieux, l’univers Inrocks ». Ainsi, l’un des jeunes comédiens ressemble étonnamment à Jeff Buckley  ressemblance sans doute pas fortuite puisqu’on entend quasiment en même temps la voix du défunt fils de Tim tonitruer sur la bande-son. On notera dans le même ordre d’idées que la musique du film prend des allures de compil Inrocks Björk, Portishead, Alpha…, que le sujet rappelle étrangement La Vie des morts et qu’une scène en particulier, celle des portières de voitures qui claquent, semble être inspirée directement de ce film et des explications qu’en donnait Desplechin dans l’un de nos entretiens Les portières qui claquent, flaf, flaf, flaf, c’est comme les selles de chevaux dans un western ». Bref, exagéré ou non par notre propre regard, le lien secret entre le travail de Chéreau et ce journal nous rend le film sympathique et pose en même temps ses limites rigidité théorique, tentation de la pose, effet air du temps. Un artiste peintre las, fils d’industriels de la chaussure, vient de mourir ; il tient à se faire enterrer à Limoges, lieu honni de ses origines. L’art, la famille, la bourgeoisie, la province, la France entre Reine Margot contemporaine et Hôtel de France, le territoire chéraldien est reconnaissable. Or donc, ce matin-là , toute la famille éparpillée aux quatre vents de la vie se retrouve rassemblée comme un mauvais puzzle sur le quai de la gare d’Austerlitz direction Limoges, les funérailles. Ambiance de gare, agitation du départ, identification progressive des personnages dans la foule ça commence comme dans L’Homme blessé, sauf que cette fois, au lieu de rester dans les chiottes de la gare, le film prend le train. La première partie sera constituée par le trajet ferroviaire, le train Corail fonctionnant comme un théâtre fragmenté et roulant. Entre frères et belles-soeurs, femmes et amants, parents et enfants, aigreurs et désirs, passions et rancoeurs, les personnages se dessinent, la vieille scie des turpitudes familiales se précise. Chéreau filme en épousant les particularismes des lieux, l’exiguïté et l’inconfort d’un train caméra à l’épaule, gros plans, montage rapide, mouvements, saccades, fragmentation… Mais tout est surcadré, surmonté, surligné, comme si Chéreau voulait à toute force convaincre le spectateur qu’il est aussi un cinéaste. Cette ostentation de la mise en scène qui relève plutôt du tic postmoderniste est renforcée par la BO susmentionnée, conférant au film des allures de clip branché. Dans la seconde partie, celle de l’enterrement et du regroupement dans la grande demeure familiale, la mise en scène s’aligne sur la situation un huis clos théâtral, revenant à des plans plus longs et plus stabilisés, à un style plus classique. Mais là , c’est le côté usé du matériel de Chéreau qui saute aux yeux finalement, on se fiche de cet énième psychodrame familial même sous l’angle allégorique d’un portrait de la France et la présence de personnages homosexuels ne suffit pas à dépoussiérer l’aspect vieillot de l’affaire. Pourtant, le film ne manque pas de qualités intrinsèques. Ainsi, le dialogue est remarquable, ciselé à la virgule près. De même, le travail des comédiens avec mention particulière à Trintignant, Greggory et Berling est prodigieux d’intensité. Comme toujours, Chéreau s’y entend pour filmer des corps, scruter des visages, faire accoucher ses acteurs d’un texte et maintenir chez sa troupe une ligne tendue, tranchante. Mais on a ici le sentiment que tout ce superbe travail tourne à vide, que le style excède la substance, que l’Idée domine la Chair. La fusion entre théorie et incarnation n’opère que par moments fugaces le travelling arrière sur le cimetière, fulgurant, comme une image mentale funèbre de la France contemporaine, ou encore la scène entre Trintignant, Pérez et les boîtes à chaussures qui fait passer un véritable trouble… Pour le reste, Ceux qui m’aiment prendront le train ressemble plus à une théorie de film qu’à un film, produit plus d’effets cinéma que de cinéma. Chéreau reste un cinéaste qui compte il l’a déjà prouvé, mais il a ici trop forcé ses talents démiurgiques, empêchant sa création de vivre. Critiques
le train de la vie texte